La cire d’abeille est un produit 100% naturel issu des cadres bâtis contenus dans les ruches peuplées d’abeilles. Elle est sécrétée par les abeilles à miel et sert de « ciment » pour construire les alvéoles des cadres de corps et de hausse; c’est dans les alvéoles que seront stockés le miel, le pollen et le couvain durant toute la saison. La cire d’abeille présente de nombreuses propriétés aussi bien pour l’entretien de la maison que pour le bien-être du corps. Aujourd’hui focus sur la cire d’abeille, de quoi vous donner des idées de produits fait maison !

Fabriquer vos bougies grâce à la cire d’abeille

La cire d’abeille permet de fabriquer des bougies naturelles. Pour un modèle basique et économique la démarche est simple, il vous suffit de faire fondre la cire d’abeille filtrée (si elle n’a pas été acheté purifiée)  dans une casserole à feu doux puis de la verser une fois liquide dans des pots après avoir placé une mèche de coton au centre. Ces bougies en cire d’abeille sont  parfaites pour illuminer vos dîners en famille. 

Fabriquer vos produits cosmétiques maison avec de la cire d’abeille

Saviez vous que la cire d’abeille entre dans la composition de nombreux produits. Si vous êtes un(e) adepte de cosmétiques, vous pouvez fabriquer vous même votre baume à lèvres. Les recettes sont nombreuses, voici l’une d’entre elles: vous pouvez faire fondre une cuillère à soupe de cire d’abeille au bain-marie puis ajouter une cuillère à soupe d’huile végétale comme l’huile de coco ou l’huile d’amande douce. Laissez durcir dans un petit pot en verre ou un tube à baume à lèvre pour une utilisation quotidienne !

Elle a également des propriétés cicatrisantes, anti-inflammatoires et elle est riche en vitamine A. Vous pouvez alors fabriquer votre crème cicatrisante maison en faisant fondre quelques grammes de cire dans une casserole et y ajouter l’huile végétale qui vous convient. Tout comme le baume à lèvres, il faut laisser refroidir la préparation dans un petit pot pour que la crème durcisse.

Fabriquer du cirage avec la cire d’abeille

Une autre utilisation de la cire d’abeille est la fabrication de cirage pour l’entretien du cuir de vos chaussures ou vêtements. En effet, la cire va permettre de nourrir et de protéger le cuir. Pour le fabriquer, vous devez disposer de cire en pastilles ou un pain de cire râpé, d’huile de lin et de paillettes de savon. Comme pour les préparations précédentes, faites fondre au bain-Marie 100g de cire dans 60 ml d’huile de lin. Dans une autre casserole, faites fondre 25 g de paillettes de savon dans 60 ml d’eau. Pour finir, vous devez mélanger les deux préparations jusqu’à obtention d’un mélange homogène. 

Fabriquer ses wraps ou film alimentaire avec de la cire d’abeille

Les feuilles “wrap” sont des emballages alimentaires réutilisables. C’est un accessoire de cuisine fabriqué à base de cire d’abeille et de tissu, qui sert à recouvrir les bols ou les saladiers pour protéger les aliments qu’ils contiennent. Ces emballages sont respectueux de l’environnement car ils remplacent parfaitement les films alimentaires plastiques et aluminium. Pour en fabriquer, dénichez un petit tissu en coton  et placez-le sur la plaque de votre four. Mettez quelques pastilles de cire d’abeille au-dessus de votre carré de tissu et faites-les fondre au four. Lorsque la cire est totalement fondue, sortez la plaque du four et soulevez votre tissu pour faire couler l’excédent de cire.

Pour tous ces usages, la récupération de pots, de tissus est très pertinente.

Si vous aussi vous aimez les produits naturels faits maison, nous vendons directement au rucher de la cire d’abeille sous forme de pain que vous pouvez râper.

En louant une ruche peuplée d’abeilles, vous pourrez profiter de nos ateliers “fabrication de bougies de cire”, pour des moments conviviaux ou de nos ateliers confection pour fabriquer des emballages alimentaires.

Le varroa est un parasite qui se transmet d’une ruche à l’autre et qui représente un problème sanitaire majeur pour les apiculteurs. Comment agit-il ? Comment lutter contre le varroa ? Nous vous apportons des éléments de réponse dans cet article.

Le varroa : origine et définition

Le varroa est un petit acarien qui provient du Sud-Est de l’Asie et qui vivait en équilibre avec son hôte d’origine, l’abeille Apis Cerana. Cet acarien a rencontré l’abeille domestique vers 1877 au Japon à la suite d’une importation, et l’adaptation de l’acarien à l’abeille domestique a créé une nouvelle espèce : le Varroa Destructor, bien plus nocif pour l’abeille domestique (Apis Mellifera). Le varroa s’est rapidement propagé en Sibérie en 1964, en Europe dans les années 1970 et en France en 1982.

Le varroa est un acarien qui ressemble à un crabe aplati. La femelle et le mâle se distinguent aisément : la femelle est rouge et mesure de 1 à 1,8mm  de long sur 1,5 à 2mm de large. Les mâles sont blancs et mesurent 0,8mm de diamètre.

Comment agissent les varroas ?

Les varroas s’introduisent dans la ruche et se reproduisent dans le couvain. Pour cela, la femelle fondatrice s’introduit dans une cellule occupée par une larve d’abeilles juste avant l’operculation et pond de 2 à 8 œufs (1 mâle puis des femelles). Le mâle féconde les femelles qui sortent de la cellule sur l’abeille au moment de sa naissance. Ils se reproduisent de façon exponentielle : le nombre de varroas présents dans une colonie double tous les 30 jours pendant la saison apicole.

Les varroas se nourrissent par piqûre de l’hémolymphe (liquide circulatoire analogue au sang) des abeilles. Ils peuvent également transmettre des virus et provoquent donc un affaiblissement progressif des abeilles (blessures, perte de poids, déformation, trouble de la reproduction, baisse de l’immunité…) et peuvent provoquer la mort de la colonie en quelques mois s’ils ne sont pas traités.

Comment reconnaître une colonie parasitée et la traiter ?

Une colonie infestée peut être invisible pour l’apiculteur. De mars à juillet, la grande majorité des varroas sont cachés dans le couvain. On reconnaît une colonie parasitée aux premiers signes : ralentissement de la colonie et diminution de la production de miel. Lorsque l’on observe les varroas femelles (rouges) sur le dos des abeilles, l’infestation est déjà à un stade avancé.

Il est donc essentiel de lutter contre le varroas  plusieurs fois par an de manière préventive et parfois curative. Le traitement principal se pratique après la dernière miellée et fait diminuer le nombre de varroas avant le seuil critique. L’objectif étant que les abeilles d’hiver soient en bonne santé pour le redémarrage de la colonie au printemps. Pour ce traitement, il est préconisé d’utiliser des médicaments disposants d’une AMM pour préserver la santé de l’abeille (mais également de l’apiculteur et du consommateur) et il est nécessaire de respecter à la lettre les doses et recommandations du médicament.

On complète ce traitement avec un autre traitement en hiver et une lutte mécanique au printemps.

Professionnels, si vous souhaitez installer une ruche peuplée d’abeilles, n’hésitez pas à faire appel à nous. Nous vous informons et vous conseillons pour que vos abeilles restent en bonne santé.

La déforestation en masse et l’absence d’arbres dans les zones urbaines représentent un danger pour la vie sur la planète, tant pour les végétaux, les animaux que pour les êtres humains. Pourquoi les arbres sont-ils essentiels à notre survie ? Comment la plantation d’arbres peut-elle être bénéfique ?

Les arbres et végétaux : les raisons de leur indispensabilité

Les arbres et végétaux verts sont à la base de la chaîne alimentaire. En effet, la photosynthèse produite par les végétaux génère de l’oxygène pour les animaux et êtres vivants. Une seule espèce végétale est indispensable pour la survie d’environ 30 espèces animales ! Nous dépendons donc des arbres et végétaux capables d’effectuer la photosynthèse produisant notre oxygène.

Les arbres ont aussi un réel rôle en milieu urbain. Ils purifient l’air en absorbant la poussière atmosphérique et le CO2. La présence d’arbres en milieu urbain peut donc compenser en partie les émissions de CO2 et, sur le long terme, participer à limiter l’augmentation de la température planétaire. Ils sont également indispensables pour lutter contre l’érosion des sols : ils interceptent l’eau de pluie par leurs feuilles, leurs branches et leurs racines, favorisent son infiltration et retardent la formation des débits de pointe.

De plus, les arbres régulent la température et évitent les écarts extrêmes que l’on peut rencontrer dans les zones urbaines. Ils protègent de la chaleur en absorbant la radiation solaire et en créant des espaces d’ombres, mais protègent aussi du vent, de la pluie, du bruit…

Pour conclure cette liste non exhaustive, les arbres représentent un abri pour de nombreuses espèces animales, leur fournissant de la nourriture (notamment en hiver) ou en les protégeant des prédateurs. Pour les abeilles, les arbres mellifères sont indispensables pour que celles-ci puissent butiner.

La plantation d’arbre : une solution ?

Aujourd’hui, il est possible de rejoindre des associations pour la plantation d’arbres et contribuer à notre échelle à une reforestation, afin de permettre aux arbres de jouer leur rôle, participer à conserver la biodiversité et par la même occasion, protéger nos abeilles !

La plantation d’arbres doit également s’accompagner d’autres actions. Il est nécessaire de veiller à limiter notre impact négatif. Actuellement, la déforestation, les émissions de gaz, la pollution, etc, ont un impact négatif considérable qui peut être réduit. Il est également important d’adopter au quotidien les bons gestes.

Urbapi vous y aide ! Professionnels, adoptez une démarche RSE au sein de votre activité en installant une ruche sur votre terrain. Particulier, il est également possible pour vous de parrainer une ruche. Plus d’informations ? Contactez-nous.

Ces dernières années, le climat devient imprévisible, présentant des périodes froides et chaudes en décalage avec les saisons, des sécheresses importantes, des précipitations ininterrompues, des orages violents… Le changement climatique actuel comporte des épisodes météorologiques extrêmes mais aussi des modifications importantes, telles que l’élévation du niveau de la mer, la fonte des glaciers, la perturbation des floraisons… Comment les abeilles réagissent à ces changements ? Comment adapter l’apiculture en conséquence ?

L’impact du climat sur le rucher

Le couvain, pour se développer correctement et assurer la survie des abeilles, doit être maintenu à une température et une humidité constante : environ 34-35°C et un taux d’humidité entre 50 et 70%. Dans le cas inverse, cela peut réduire le nombre d’émergences (rendues impossibles si le taux d’humidité atteint 30% notamment). Une température trop basse aura un impact négatif sur la qualité de ponte, la mémoire, les capacités cognitives et d’orientation des abeilles adultes… De nombreuses autres conséquences sont liées aux changements climatiques : vols de butinage moins efficaces, baisse de la longévité de la reine, nombre de mâles quittant la colonie, réduction de la quantité de ponte, dérèglement de l’organisation de la colonie…

Comment s’adapter ?

Pour réagir à ces évènements, il sera essentiel de garder une souplesse et une attente particulière aux signes de la colonie. Les dates clés utilisées par les apiculteurs pendant des années doivent parfois être remises en question.

Posséder une ruche va donc de pair avec l’utilisation de nouveaux outils et du matériel de réserve : balance avec capteurs multiples, ruchettes, hausses, nourrisseur… La bonne isolation et protection de la ruche est indispensable pour éviter les écarts importants de température. En cas de sécheresse, il faut veiller à offrir un abreuvoir adapté aux abeilles. Des cadres de nourriture de réserve avec du pain d’abeille et du miel plus facile à utiliser en période potentielle de miellée sont aussi indispensable à avoir.

Les changements climatiques sont donc un véritable défi pour l’apiculture. Cependant, l’Apis Mellifera est une espèce qui a une grande capacité d’adaptation et qui laisse espérer une possible adaptation aux nouvelles conditions climatiques.

Si l’apiculture et le fonctionnement des abeilles vous intéressent, n’hésitez pas à consulter notre page Découverte des abeilles.

L’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture et la Convention internationale pour la protection des végétaux (CIPV) sont à l’origine de cette initiative : l’année 2020 est l’année internationale de la santé des végétaux. Cette initiative a pour but de sensibiliser le grand public aux dangers environnementaux qui menacent les végétaux et inciter les gouvernements à se mobiliser pour répondre à cette problématique.

Les végétaux : pourquoi leur santé est une priorité

La santé des végétaux est une question de survie pour tous. En effet, ils sont la source principale de nourriture pour l’humanité, représentant près de 80% de ce que nous mangeons dans le monde. Les végétaux représentent aussi 98% de l’oxygène mondial que nous respirons.

Les ravageurs, adventices, et agents phytopathogènes sont responsables de 20 à 40% des pertes dans les cultures. De plus, ces chiffres sont nettement augmentés par les activités humaines. L’utilisation de pesticides dans les cultures impacte la biodiversité et dérègle les sols.

L’impact attendu de l’année internationale de la santé des végétaux

L’année 2020 a donc pour objectif de sensibiliser la population aux dangers qui menacent les végétaux, prévenir la dissémination, éradiquer les organismes nuisibles et les maladies et mobiliser les acteurs de la biodiversité (particuliers, professionnels…).

Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation a donc mis en place un plan d’action, en collaboration notamment avec l’Anses et Inrae et a présenté des événements et tables rondes au Salon International de l’agriculture à Paris (Février 2020). L’enseignement agricole participe également via des actions pédagogiques dans les établissements scolaires agronomes et agricoles.

Vous souhaitez agir ?

En tant que particulier, ou au sein d’une entreprise, vous pouvez agir à votre échelle pour préserver la biodiversité et la santé des végétaux.

    • Soyez vigilants lors de vos voyages : si vous ramenez des plantes, veillez à respecter les lois phytosanitaires afin de ne pas disséminer des maladies
    • Agissez au quotidien pour réduire votre empreinte sur l’environnement
    • Rejoignez des organismes de protection des espèces proche de chez vous

Entreprise ou particulier, vous pouvez faire un premier pas dans la préservation de la biodiversité en installant une ruche sur votre terrain. Urbapi saura vous aider dans cette démarche. N’hésitez pas à nous contacter pour votre projet !

Du 20 au 30 mars c’est la semaine des alternatives aux pesticides ! Le saviez-vous ? La France consomme en moyenne 62000 tonnes de pesticides par an. En effet, ces derniers sont très utilisés dans les parcs, les jardins, dans l’agriculture et même à la maison pour lutter contre les organismes nuisibles tels que les insectes, les champignons. C’est l’occasion pour nous, de vous donner quelques solutions pour réduire l’impact des pesticides dans la nature.

Les alternatives en Agriculture

Optez pour la production intégrée

La production intégrée est préventive. Elle a pour but de replacer l’agronomie au cœur de l’agriculture en prenant en compte tous les éléments (Hommes-milieux-environnement) pour améliorer les techniques de production et protéger l’environnement. Elle est basée sur plusieurs leviers parmi lesquels nous pouvons citer :

  • Les moyens culturaux (effets de pratiques au champ, rotations longues, semis moins dense, plus tardif) qui visent une action préventive.
  • Les moyens génétiques disponibles (espèces et variétés tolérantes ou résistantes)
  • Les moyens de lutte comme le biocontrôle et la lutte physique (travail du sol ou désherbage mécanique par exemple).

L’agriculture biologique

Pour favoriser la biodiversité et la fertilité des sols, opter pour une production agricole respectueuse de l’environnement s’avère être l’un des meilleurs moyens. Adopter une agriculture biologique, c’est exclure tout produit chimique et OGM dans sa production. Les règles de l’AB sont clairement définies dans le règlement européen n 834/2007. Nous pouvons citer entre autres les règles suivantes :

  • Fertiliser les sols avec des matières organiques (fumiers, engrais verts, composts…) éventuellement complétée par des engrais minéraux naturels (phosphates, poudres de roche, calcium issu de marnes),
  • Les engrais chimiques solubles sont interdits,
  • La couverture du sol (protection contre le dessèchement et rétention de l’humidité).

Les alternatives pour les collectivités

Depuis janvier 2017, les collectivités n’ont plus le droit d’utiliser les pesticides de synthèse dans la gestion des espaces publics. Par ailleurs, pour une bonne gestion biologique des espaces verts, il faut un engagement collectif. Cela passe par une sensibilisation des différents partis notamment les populations, les élus et les gestionnaires. De plus, pour arriver au zéro pesticide, il est nécessaire de :

  • Pratiquer le désherbage non chimique tel que le désherbage manuel à l’aide d’une binette ou de sarcloirs ou le désherbage électrique à brosses rotatives
  • Réaménager les espaces grâce à des paillages du sol, l’augmentation de la hauteur de tontes, la réalisation d’une fauche tardive ou encore le choix d’espèces locales sauvages et adaptées à l’environnement sont autant de moyens de limiter le désherbage.

Pensez aux ruches !

Vous avez la volonté de réimplanter la nature dans votre ville. Sachez qu’installer une ruche favorise le maintien de la biodiversité locale existante, et  valorise les espaces peu ou pas utilisés. Contactez notre équipe pour plus d’informations !

Cette année « le jour du dépassement » arrive encore plus tôt que les années précédentes : le 29 juillet 2019, l’humanité avait déjà consommé plus de ressources naturelles que la Terre n’est en capacité d’en produire en un an. A  partir de cette date, l’humanité vit « à crédit ». Aujourd’hui, il faudrait 1,75 Terre pour tenir le rythme de notre consommation actuelle de ressources.

Comment est calculé le jour du dépassement ?

La pression de l’activité sur terre est calculée à partir de la comparaison entre deux critères à savoir :

  • L’empreinte écologique de la population qui désigne les ressources naturelles dont l’humanité a besoin pour se nourrir et compenser les déchets qu’elle génère, y compris les gaz à effet de serre. En d’autres termes, cet indicateur mesure les surfaces alimentaires productives de terres et d’eau nécessaires pour produire les ressources qu’un individu, une population ou une activité consomme.
  • la biocapacité ou capacité biologique d’un territoire désigne sa capacité à produire des ressources naturelles renouvelables.

Ce calcul est réalisé par le Global Footprint Network à partir de données comme les terres cultivées et la consommation d’énergie.

Comment repousser le jour du dépassement ?

Pour repousser progressivement le Jour du dépassement, des solutions existent. D’après la WWF, réduire notre consommation de protéines animales nous permettrait de gagner 15 jours par an. Et réduire notre gaspillage alimentaire de moitié repousserait la date du jour du dépassement de 10 jours. De plus, protéger et régénérer les écosystèmes naturels dont dépend notre bien-être est essentiel pour vivre en équilibre avec la Terre.

Si vous souhaitez agir pour le développement durable de votre planète, la protection des abeilles est un excellent moyen de sauvegarder la biodiversité locale. Faites appel à notre équipe pour l’installation d’abeilles  dans votre entreprise  ou à votre domicile.